📉 Des abonnés de Caséo à Louviers sont en colère !
- Radiations d’abonnements : Plusieurs usagers ont perdu l’accès à Caséo sans préavis.
- Augmentation des tarifs : Les nouveaux prix peuvent atteindre +60%, rendant les abonnements beaucoup plus chers.
- Changement de gestionnaire : Oiikos remplace Equalia, et les nouveaux forfaits ne sont pas au goût des abonnés.
- Création d’un collectif : Des usagers se regroupent pour défendre leurs droits et s’opposent à ces décisions injustes.
- Appel à l’Agglomération : Le député Philippe Brun demande une révision des pratiques tarifaires et une étude sur la gestion publique.
Restons solidaires et informés ! 💪
| Éléments clés | Détails |
|---|---|
| Augmentation des tarifs | Les abonnements ont subi une hausse significative, par exemple, de 34 € à 85 € pour un forfait précédemment proposé. |
| Changement de gestionnaire | La société Oiikos a pris en charge la gestion du centre Caséo suite à un appel d’offres réalisé par l’Agglomération Seine-Eure. |
| Radiation des abonnements | Des usagers ont vu leur abonnement interrompu sans préavis, provoquant un mécontentement important. |
| Création d’un collectif | Un groupe d’usagers s’est formé pour dénoncer les pratiques jugées injustes et favoriser la défense de leurs droits. |
| Argument légal | Des membres du collectif citent l’article 1103 du Code civil, soutenant que la rupture unilatérale des contrats est illégale. |
| Réaction politique | Le député Philippe Brun a interpellé l’Agglomération concernant les hausses de tarifs et demandé une révision des offres. |

À Louviers, les récents changements intervenus chez Caséo suscitent de vives réactions parmi les usagers. L’augmentation des tarifs et la résiliation des abonnements sans préavis bouleversent le quotidien de nombreux abonnés, contraints de repenser leur engagement et leurs options en matière de fitness et de bien-être. Les plaintes se multiplient, et un collectif se forme pour dénoncer ces pratiques jugées abusives.
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ToggleLouviers : des abonnés de Caséo radiés sans préavis
Depuis le 1er juillet, la gestion de Caséo a été transférée à Oiikos. Cette transition a entraîné des modifications majeures, notamment en ce qui concerne la grille tarifaire. Les usagers se plaignent de radiations injustifiées de leurs abonnements, souvent sans aucune notification préalable. Beaucoup ont été surpris de se retrouver sans accès à leurs services habituels.
Francine, qui avait souscrit un abonnement à 34 €, doit désormais débourser 85 € pour bénéficier des mêmes prestations. Pour Myriam, l’addition est encore plus salée : son pass illimité à 78 € a été remplacé par une offre à 110 € avec des conditions similaires. Les usagers se sentent floués et demandent des explications.
Réactions des usagers face aux changements
Le mécontentement grandit. Un collectif d’usagers se crée pour faire entendre la voix des abonnés lésés. Laëtitia, membre active du groupe, dénonce la catégorie d’usagers qui, après avoir payé mensuellement, se retrouve radiée, alors que ceux qui ont payé leur abonnement à l’année conservent l’accès.
“Un contrat ne peut être interrompu unilatéralement”, souligne Laëtitia, se référant à l’article 1103 du Code civil.
- Les usagers n’ont pas été informés de la résiliation de leurs contrats.
- La logique tarifaire semble peu équitable et résulte d’une gestion opaque.
- La société Oiikos a suspendu les prélèvements, mais cela ne résout pas le problème des frais déjà engagés.
Augmentation des tarifs chez Caséo : quelles conséquences ?
La hausse des prix que connaît Caséo suscite des interrogations sur l’accessibilité des services. Les abonnés se demandent si un service rendre conséquent pourrait justifier les nouveaux tarifs. En effet, les nouvelles formules restreignent les possibilités pour certains usagers, qui envisagent de se tourner vers d’autres centres sportifs.
Un tableau comparatif des tarifs avant et après la transformation de Caséo permet de mieux visualiser l’impact de ces changements :
| Type d’abonnement | Ancien tarif | Nouveau tarif |
|---|---|---|
| Forme (accès complet) | 34 € | 85 € |
| Formule illimité | 78 € | 110 € |
| Accès espace aquatique | 379 € | 300 € |
Les usagers se retournent contre la gestion
Bon nombre d’entre eux trouvent cette gestion “inacceptable” et “illégale”. Devant ces injustices, le député Philippe Brun a été saisi et a soulevé la question des pratiques de l’Agglomération Seine-Eure. Il soutient que les abonnés ont été privés de leur accès sans préavis. De plus, il aborde la nécessité d’une tarification raisonnable, pour que les services restent accessibles à tous, car les prix élevés peuvent constituer un vrai frein pour les usagers.
Les prochaines étapes pour les abonnés de Caséo
Les membres du collectif de Caséo ne comptent pas s’arrêter là. Ils envisagent, avec l’aide juridique, une mise en demeure adressée à Oiikos et à l’Agglomération pour rétablir les contrats suspendus. Une lutte qui pourrait faire écho à d’autres combats similaires dans la région, visant à réformer la gestion des services publics.
Les échanges avec les responsables continuent, les usagers espérant une amélioration rapide et un retour à des tarifs équitables, qui permettent à tous de profiter des infrastructures sportives sans contraintes financières trop lourdes.


Une situation préoccupante pour les abonnés de Caséo à Louviers
La récente décision de la société Oiikos, nouveau gestionnaire de Caséo, d’augmenter les tarifs et de radier des abonnés sans préavis, suscite une forte indignation parmi les usagers. Ces derniers, qui souhaitaient continuer à profiter des biens et services offerts par le centre aquatique, ont vu leurs contrats terminés brutalement, sans explication et sans possibilité de recours. Des témoignages poignants apparaissent, illustrant la détresse et la colère des abonnés, comme celui de Francine, qui fait face à une augmentation de son abonnement allant de 34 € à 85 € pour les mêmes prestations.
Le collectif formé par les usagers ne se contente pas de ressentiment, mais agit pour faire valoir leurs droits. En quelques jours, cette initiative a rassemblé près d’une centaine de personnes, témoignant ainsi de la volonté de se faire entendre face à une situation jugée illégale. Les membres de ce collectif considèrent que ces pratiques, qui semblent unilatérales et arbitraires, violent le principe fondamental selon lequel un contrat ne peut être rompu sans accord mutuel. Au-delà des enjeux individuels, ce mouvement soulève des problématiques plus larges concernant la gestion des services publics et l’accessibilité au sport et au bien-être, en particulier dans un contexte où les tarifs deviennent prohibitifs pour une partie de la population.
Le député Philippe Brun a également pris la parole, incitant l’Agglomération à repenser sa stratégie face à cette crise. En effet, la mise en place d’une offre tarifaire équitable pourrait non seulement rétablir la confiance entre manageurs de services sportifs et usagers, mais aussi garantir un accès à la pratique sportive pour tous. Ce mouvement ne fait que commencer, mais la mobilisation des abonné(e)s pourrait entraîner des changements significatifs pour l’avenir des services de loisirs à Louviers.
